Nom: Lamarre
Prénom: Alexandra
Age: 17 ans
Lieu de naissance: Kalindra
Rang: Enchanteresse
Don: Télékinésie
Pierre magique: Aigue Marine
http://www.paganguild.org/aubeseptiemelune/grimoire-des-pierres/pierres-a/aigue-marine.htm (Pour l’explication sur la pierre)
Animal de compagnie: Lézard barbue
Histoire (7 lignes minimum) : Alexandra est née à Kalindra, son père était le capitaine des flottes de l’armée et quant à sa mère, elle est morte à la naissance de la fille. Sa vie ne fut pas animée de grand évènement, mais il en a bien quelques uns qui la formèrent dans sa vois. À l’âge de six ans, son père, refusant de la laisser à une dame de confiance, l’amena en mer, et c’est sur le pont, alors que les marins travaillaient, que son père lui montra le maniement des armes. D’abord le sabre, les épées classiques et plusieurs autres armes blanches passèrent avec ses années d’enfances. La simple idée d'aller en mer la remplissait de joie et bien vite elle connu les rudiments de la vie marine et en fut passionner, outre ses cours de combat. Bien que fille, elle n’eut jamais vraiment le caractère féminin, doux, lascif et approprié à son statu. En tant que jeune guerrière, elle n’avait rien à faire des robes à la mode, des étoffes de tissus ou, activité qui l’ennuyait grandement, chercher un époux et repousser les avances.
Ces environs vers ses 10-13 ans que son don de télékinésie se fit sentir. Bien que suspectant quelque chose du genre au début, la jeune femme ne fit rien pour en informer les gens autour d’elle et continua à développer sommairement son don en silence, ne voulant pas créer de remous autour d’elle. Elle connaissait assez bien les idées que les gens, ainsi que son père, avaient à propos des êtres aux pouvoirs spéciaux. Elle refusa donc d’en parler, jusqu’au jour où, évidemment, il fallut le dire! Et ce jour là, s’était pendant la réception que papa avait fais à la maison, pour sa fête de 14 ans. Encore si jeune, mais déjà experte en arme, il fallait fêter! Malheureusement pour tous les gens présents, il y avait un recruteur dans les rangs. Alors qu’ayant fini de découvrir son dernier cadeau, elle déposa la belle broche en argent sertie de perle que lui avait offert le fils d’un des employer à son père, qu’elle avait rencontrer sur le pont, justement. Elle en était très heureuse, même si elle savait qu’elle ne l’utiliserait jamais… Mais bon, alors donc.
Elle s’était lever, remerciant tout les gens présents, et fini en faisant léviter une fourchette devant elle. Personne ne parlait, jusqu’à ce que qu’un veille homme, son grand père maternel, ne se lève et la prenne par la main en disant :
« C’est pas grave ma chérie, c’est pas grave… Ta mère aussi.»
La dose de surprise passer, elle se mit à fixer son grand père et plus d’attention et lui demanda :
« Dit, grand père, pourquoi tu as toujours cette drôle de canne avec toi? »
Le débuts de sa formation ne fut pas très durs, elle devait faire léviter un objet à la fois, mais celui-ci était toujours plus lourds. La chose était facile, en soit… C’est quand il fallut faire l’éviter tous les objets en même temps que ce fut plus difficile.
La jeune femme fut enlevée à son père et à la vie marine. Un fil de sa vie venait d’être couper, mais un autre, plus mystérieux, venait de ce faire créer. Son entraînement dura trois ans. Trois ans pendant lesquelles elle du créer des signes, réciter des formules et principalements renforcer sa force mentale.
Bref, tout ça ne fut pas de tout repos. Mais un beau soir alors que, dormant profondément, elle fit un rêve plutôt étrange dans lequel un personnage bien étrange lui remettait un bâton.
À savoir, pour elle, ça ne voulait pas dire grand-chose, puisqu’on ne lui avait jamais dit la signification de ce rêve. Ce ne fut cas son réveil qu’elle se mit réellement à se poser des questions. Qu’est-ce que le bâton qui il y avait de cela quelques heures étaient dans sa tête était maintenant dans la sa chambre, avait-elle le donc de créer des objets? 0.0
Bien sûr que non, lui avait rassurer son maître, elle était simplement accomplit dans son rôle d'enchanteresse… Il lui fallait maintenant suivre une vois, maintenant… Retourner à sa vie de guerrière ou être une protectrice.
À ses deux vies, elle décida de dire non. Elle ne serait rien qui lui était obligé.
Elle décida de partir, cette fois avec sa propre volonté, pour voir le reste du monde. La vie près de la mer lui manquerait sans doute, mais elle ne voulait pas être réduite à une simple fonction. Ça ne lui plaisait pas.
Alors un peu à cause de sa crise d’adolescence et aussi par besoin de liberté, elle partie sans demander de reste, toujours aussi peu désireuse de suivre les vois que les gens lui traçaient…
Caractère (4 lignes minimum): Clamant la liberté à tous, sa simple présence et synonyme de bonne humeur et de joie de vivre. Comme un dauphin dans les mers, elle peut paraître aussi joyeuse que naïve, tout en aillant des qualités cachées qui ne sont pas à prendre à la légère. Réfléchie pour certaines occasions, elle n’aime pas les conflits entre les pays et souvent les gens contrôlant trouvent une place de choix dans ses insultes familières. Elle aime les gens qui savent ce qu’ils veulent et les êtres aimants. Elle n’aime pas spécialement qu’on lui pile sur les pieds, mais elle ne va pas réagir pour autant rapidement à un geste offensent. Elle fait confiance au destin et sait que toutes les mauvaises choses seront punies un jour. Elle n’est pas du genre à forcer la main aux gens et sait apprécier le peu qu’elle a. Elle ne dira jamais à quelqu’un ce qu’il devra faire mais peu tout de même donner son opinion.
Physique (3lignes minimum): Féminin avant tout. La jeune femme de dix sept ans à les muscles du corps aussi fin et puissant qu’un chat sauvage. D’une forme équilibré, elle n’a rien de sur développer et semble passablement contente de son visage. Elle à de jolie yeux bruns et des cheveux noirs aux reflets verts. D’ailleurs la dame ne porte que des vêtements verts. Les mains qui se referment sur ses armes ou sur sa canne sont d’une belles présences, mais pas spécialement doux. D’ailleurs, sa peau n’a rien de celle d’une jeune femme. Bien qu’en apparence lice et jeune, elle n’en reste pas moins un peu rude sur les mains et les pieds. Elle n’envie rien à personne et personne ne semble l’envier.
Signe particulier: Elle s’habille toujours en vert et à un bandeau dans le front donc le milieu est sertie d’un Jais, cadeau de son maître Enchanteur avant que la jeune femme ne parte.