Nom: Hojaye
Prénom: Zékaje
Age: 26 ans
Lieu de naissance:Terre des maudits
Rang: Sorcier
Don: Contrôle le Feu
Animal de compagnie: Une couleuvre qui se tien généralement dans l’une de ses manches, enrouler autour de son bras.
Histoire (7 lignes minimum): Les maudits… Tous des maudits… Lui aussi l’était. Un maudit, un maudit que personne n’aimait, un enfant parmi les autres, essayant en vint de trouver une famille… De l’eau, tient donc. L’été il faisait si chaud… Si chaud… Sa gorge, aussi sec qu’un désert, réclamait de l’eau qui ne venait pas! Alors quoi boire? Il n’avait pas la force de ce battre contre les chiens du village miteux dans lequel il pourrissait depuis sa venu au monde. S’était la nuit, il devait avoir dans les six ans. Mais là n’était pas la question, la question était plutôt, qu’allait-il boire? De l’urine… C’est avec une grimace qu’il y pensait, mais avait-il le choix? Ses cheveux sales criaient le besoin de ce faire laver et une bonne baignade dans le lac ne lui aurait pas fait de tort. Mais une famille avait acquit le terrain, le rendant inaccessible à tous.
Si soif… Il aurait finalement bien but de la pisse au litre, mais ses jambes ne voulaient pas se rendre aux flottes aux égouts à ciel ouvert, là, l’autre côté de la petite rue. Mais non, il ne pouvait s’y rendre. Sa respiration, il l’attendait comme le souffle de la mort à son oreille, semblait aussi sec et brisé que l’était son esprit d’enfant. Jamais il n’avait été un enfant… Sous les yeux d’une bande de cavalier passablement aisés, qui ne firent que s’écarter de son chemin, il fini par tomber à genoux, son petit corps lourd de fatigue, de désir existentiel et de grasse. Pendant son sommeil lourd et sans tache de couleur, des jeunes virent voir si, sous ses amas de tissus, il n’y avait pas de quoi manger, un truc de valeur qu’on aurait put vendre, une petite goûte de bonheur, peut être…
Non, les maudits n’avaient pas droit au bonheur, s’était si connus, si souvent entendus, même dans leurs contrés. Même de la part des gens qui nous disent être des amis. Les maudits, s’étaient la lis de l’humanité, des enchanteurs, des humains… La haine, voilà ce qu’ils leurs restaient, une haine profonde, sans pudeur, une haine si grande que même les éléments, en présence des maudits, semblaient se ratatiner pour ne pas ce faire toucher par cette irrationnel besoin de violence, ce besoin pressant de faire payer tant de souffrance.
L’enfant ce réveilla avec un sentiment étrange de fraîcheur. Ça sentait bon, la rue était devenue moelleuse tout à coup. Se levant en reniflant, il essuya ses yeux, et malgré un mal de tête qui ne tardait pas à venir, la lumière des chandelles autours de lui indiquaient qu’il se trouvait dans une demeure, comble du bonheur, il y avait juste à sa gauche, sur un table, un panier de nourriture et encore, une cruche remplit d’eau. Tassant le gobelet qui semblait de surplus, il but à même la cruche, l’eau dégoulinant sur son menton pour finir sa trajectoire dans les tissus du lit dans lequel il s’était réveillé. Son esprit enfantin ce disait que peut être, finalement, il y avait du bien dans ce monde et que quelqu’un avait penser à lui, une fée ou, mieux encore, une famille d’ange!
Sans penser, il se mit à manger comme si, et s’était le cas, sa vie en dépendait.
Malheureusement pour lui, la nourriture et tout ce qui l’accompagnait était drogué, il perdit le fil de tout et ses yeux commencèrent à avoir des visions horribles. En premier lieux, une femme qu’on écartelait. Rien n’y faisait, fermer les yeux ne servait à rien, les visions restaient. Il se mit à hurler de peur, il ressentait la douleur de la femme dans tout son corps!!! Puis vint des instruments de torture plus étrange les uns que les autres. Étrangement, il n’y avait aucune main pour les manier, comme si s’était du à la simple volonté des objets. Mais même à cela, il hurlait encore, se tenant la tête, alors que par l’embrassure de la porte de la chambre, un homme regardait la scène comme ci se fut tout à fait normal, le regard sans gêne, sans perversion, sans pitié… Sans émotions.
« ARRÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEER !!!»
Le son de ses paroles ne sortit jamais de cet endroit et alors qu’il subissait ses visions, on le viola sans douceur. Les brûlures qu’avaient causer les cordes restèrent une semaine à ses poignets. Comme si la nourriture était hantée, il n’y touchait plus, la lumière de la pièce diminuant aussi rapidement que son moral… où peut être était-ce l’inverse? Ce qui est sûr, c’est que dans l’immédiat, ceci dura deux mois. Sans parler, sans rien dire, on le forçait à manger, à boire. On le lavait et on l’habillait de belles étoffes, le mettant en valeur comme ci ce fut tout à fait normal. Comme ci il n’était qu’une simple poupée. On le maquillait même, parfois. À la longue, il devint une coquille vide, sans idée fixe, une coquille qui subissait son sort de coquille comme n’importe qu’elle autre coquille. Ce ne fut que quand on le força à « boire à la source » que son besoin de vivre se révéla enfin. Est-il nécessaire de dire que le membre à proprement dit fut couper avec les dents du jeune homme et que, le client, car s’en était bien un, mourut à bout de sang. Malgré tout ça, celui qui surveillait la situation dans la chambre ne fit rien. Laissant ’homme mourir, une lueur significatives dans les yeux.
Le sang avait remplit les draps, partout il ne semblait y avoir que ça, la pause était pathétique et celle de l’enfant, probablement assez effrayante. Ses mains prenaient sous un besoin pressant, tout le sang à porter et enduisait son propriétaire avec frénésie. Fermant les yeux, le jeune homme ne fit aucune exception à toutes les parties de son corps et laissa ainsi la coagulation ce faire. Les visions continuaient, mais il n’en ressentait plus les effets pervers, au contraire, il voulait lui-même infliger la douleur ! Il était maudit, alors, autant que ce soit jusqu’au bout!
Il fut un autre mois, mais cette fois ci, sans avoir de client potentiel. Le problème, c’est qu’il n’eut pas de bain. Il eut de la nourriture, mais ce fut des restes de table. La lumière de sa chambre était inexistante. Alors il lui prit une idée bien étrange pour l’esprit d’un enfant. Un peu comme une tentation, un moyen ultime. Il prit une chandelle qui passait par là, et qui était allumé, par la même occasion, et fit une croix dans le lit. Lui-même était encore dessus. Et la chaleur devenait très vite invivable. Pourtant il ne partait pas. Le bas de son étoffe commença à prendre flamme et, à ce moment, il joignit ses mains ensembles et murmura, malgré les langues de feu qui commençaient à lui faire mal aux jambes.
Ça en était presque de la mutilation. Mais alors qu’il faisait sa prière au seul Dieu qu’il connaissait, Dévon, les gens de l’établissement dans lequel il se trouvait arrivèrent en trombe, ayant sentie l’odeur de brûler. Il fut rapidement enlevé des flammes, mais déjà cela fut-il fait qu’on se mit à le battre.
Le feu s’était répandu à une vitesse fulgurante. L’un des serviteurs avaient oublié que ce qu’il tenait dans ses mais n’étaient pas de l’eau, mais de l’alcool. Ce ne fut pas tout le monde qui brûlait. À un coin de rue plus loin de là, assez en tout cas pour échapper à la chaleur ambiante, le même homme qui s’était occuper de Zékaje observait encore le jeune homme qui se sauvait dans la nuit, se réfugiant dans les ténèbres, tout comme son corps, son esprit avait sans doute fait la même chose. Les ténèbres… La noirceur, une mère qui ne quittera jamais ses enfants, ça c’est sûr.
Mais maintenant… Qu’était donc cette sensation. Ce vent dans sa figure, cette douce caresse contre sa peau, ce froid qui recouvrait doucement son corps comme une couverture qui n’avait pas servit depuis longtemps. La liberté! Alors malgré la faim, la soif qu’il pourrait à présent ressentir de nouveau, il se jurait une chose, être fidèle à la liberté, aussi fidèle à elle cas lui! Un rire se leva soudain entre les arbres environnants, un rire effrayant, le rire d’un enfant.
Les années passèrent ainsi alors que, grandissant, il n’avait pas eut de nouvelle du Dieu à qui un jour, il s’était adressé avec ferveur. Mais peut lui importer, le Dieu en question lui avait donner une liberté si grande. Que déjà il était recherché, même chez les maudits, pour bestialité, cruauté, méchanceté envers les animaux, et encore, ce n’était qu’un début. Étrangement, ou pas, il s’attaquait généralement envers les riches. Le premier vrai crime qu’il avait commit, s’était de démembrer le chien d’une petite fille devant ses yeux, la traumatisant sans doute à jamais la dite petite fille de riche, passablement trop gâter pour être bien élever, et déjà méchante en plus. Après tout, il n’avait demandé qu’une pomme, et elle lui avait répondu que les gens comme lui, qui n’avait rien de quoi payer, n’était pas apte à vivre.
Il ne l’avait pas démentit, mais fait payer, ça s’était sûr.
Quoiqu’il en soit… Un jour, vers ses 23 ans, une onde de choc passa dans sa jambe, déchirant les tissus musculaires tout en coupant la peau, tout ça sans pour autant toucher les points vitaux ou d’une plus grande importance comme les nerfs. Mais bon, cette onde de choc avait traversé tout son corps comme ci une gigantesque vague avait soudain jaillit en lui. Il eut bien du mal à contrôler le don qui était soudain apparut en lui!
En premier, tout ce qu’il touchait brûlait, il ne pouvait même pas frôler son propre corps. Et puis avec le temps, tout redevint normal, comme ci rien ne s’était passé.
Il se demandait… Si ce n’était pas encore un tour étrange que la vie lui jouait. Mais il sut à un moment donner que, ce don, il n’était pas là par hasard.
Dieu lui confiait peut être une mission… Peut être pas. En tout cas, après un certain temps, il décida de quitter la terre sur laquelle il semblait ne plus avoir de but, pour sans doute, en trouver un ailleurs… sa vocation : Obéir à Devon
Il se mit donc, dans sa folie, à parcourir un peu le reste du monde…
Caractère (4 lingnes minimum): D’une politesse écoeurante. C’est le genre de personnage donc on détecte tout de suite la malveillance, que ce soit à cause du regard où de l’allure générale, mais surtout à cause de ce qu’il dégage. Il a un caractère qu’on aurait qualifié de plaisant, si ça n’avait été de l’odeur du sang sur ses chemises. Il peut sembler gentil, parfois, quand ça lui tente, mais rarement il va rendre un service à une autre personne que son maître incontesté, la seule personne à qui il vous un réel respect… Son Dieu. Il a un caractère impassible, bien qu’un sourire surveille toujours, de ses lèvres, les gens qui l’entourent. Il pourrait torturer une personne tout en lui demandant de crier moins fort, question de sauvegarder la seule partie qui restera idem de son anatomie, les cordes vocales. Il est instable mentalement.
Physique (3lignes minimum): Derrière son crâne, une grande « attache » retient une partie de ses cheveux. Cette attache s’étire sur les côtés du crâne de Zékaje en prenant l’allure de corne. Quand on regarde le jeune homme de face, on à l’impression de voir un être irréel. Son visage est fin et soyeux, la peau aussi douce que celle d’un enfant, il semble toujours beau, toujours propre, quelle que soit la situation. Ses longs cheveux noirs encadrent son visage ovale, ce qui semble créer un vide autour de sa tête et sur ses vêtements, quand des mèches si perdent. Il est plutôt grand, souple mais pas nécessairement d’une force incroyable, en effet ceci est l’un de ses points faibles. Ses yeux d’un bleu cyan très particulier, presque toujours brillant. Il a un pentacle noir au poignet gauche.
Signe particulier: Il lime ses dents pour que celles-ci est soient plus pointues.