Nom: Elanessë
Prénom: Lenwë
Age: 19 ans
Lieu de naissance: Dans une petite maisonnette d’Anokhia à Myzteria.
Rang: Humain
Don: aucun et ne souhaite absolument pas en avoir.
Animal de compagnie: s’occuper de lui-même est déjà assez difficile comme ça sans qu’en plus il ai à s’occuper d’une boule de poil (de plus Lenwë déteste les animaux.)
Physique (3lignes minimum):Lenwë Elanessë ne peut pas être comparé à l’incarnation d’Apollon, mais il ne peut pas non plus être comparé à un nain décrépi… Non il est juste…Mignon serait le mot le plus juste.
Et pourtant, contrairement aux habitants de sa ville natale, est plutôt pale de peau, ne captant pas les vitamines qu’envoyait à longueur de journées le soleil. Plutôt petit pour son âge et chétif le garçon n’est pas taillé pour le combat, au grand damne de ses parents.
Le jeune garçon à des traits fins et harmonieux, le visage toujours souriant et une pointe de malice dans ses yeux bleus aux reflets violets. Son crâne est d’une épaisse tignasse grise blanche lui tombant dans le bas du cou, aucune cicatrice n’est visible sur le visage encore enfantin du jeune membre Elanessë.
En descendant ses bras fins et peu musclés on rencontre de magnifiques mains, meilleur atout du garçon : de longs doigts fins et agiles lui permettant d’exercer de n’importe quel instrument.
Question vestimentaire le jeune habitant de Syna reste très simple : une tunique nouée par une fine ceinture autour de sa taille, un pantalon en toile et des sandales. Une cape de voyage et par-dessus le tout un petit sac de voyage pendouillant à son épaule, duquel on peut voir le bout d’une flûte une corde de Lyre. Soigneusement accroché à son dos tient aussi un sac contenant un Luth. Bien qu’il ne soit pas doué au combat, le garçon voyage avec une petite dague à sa ceinture.
Caractère (4 lignes minimum): Lenwë est une personne douce et calme, contre toute forme de violence. Doué d’un ‘don’ naturel pour la musique (n’ayant aucun rapport avec un quelconque don magique) une sorte d’aura douce et sucrée s’élève de sa personne lorsque ses doigts pinces les cordes de sa Lyre. Une voix de conteur s’accorde au tout. D’un naturel optimiste il voit la vie avec un angle d’artiste. Egalement très doué aux jeux de stratégies il reste invaincu au jeu de go.
Un sourire constamment accroché aux lèvres il est rare de rester sans sourire sois même à ses côtés, même si ce sourire qu’il vous à tiré est un sourire d’exaspération.
Mais comme tout être vivant, Lenwë n’est pas dépourvu de sa part malsaine. Cette petite voix qui vient le titiller de temps à autres, lui murmurant des paroles si alléchantes aux oreilles. Des paroles tels un doux miel qu’un enfant regarde avec envie sur la table de la cuisine. Ce pot qu’on veut absolument attraper bien qu’on sache parfaitement que mal s’en suive.
Mais malgré ce petit trait de caractère le garçon ne reste pas sérieux pour deux sous, sauf dans quelques occasions rares.
Autre petit trait de caractère : Lenwë est un incorrigible gourmand et il déteste les animaux.
Histoire (7 lignes minimum):
Lenwë marche…Marche…Un pas, puis un autre…Ses pas laissent des traces dans l’herbe encore humide de la rosée du matin. La route était encore longue pour arriver à Vérénya pourtant le garçon gardait le sourire en observant le bal des nuages au dessus de lui. Pourquoi marchait il ? Cela remontait à maintenant 19 ans son histoire…
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La pluie tombe à flot et tape sur les petites fenêtre de la maison d’Anokhia, située juste au bord de l’immense forêt. Les cris qui en sortent rivalisent avec le bruit du tonnerre de ce
6 juin. Amarië Elanessë tient la main de son mari en transpirant à grosses gouttes, un nouveau cri de douleur pendant que la petite apprentie lui tamponne le front avec un tissu humide. Ça faisait déjà plus de 2 heures que l’accouchement avait commencé, et ce ne fut qu’à la troisième heure que le bout d’un crâne fit enfin son apparition. Une fois lavé le nouveau né qui ne ressemblait pas à grand-chose, comme tout les nouveaux-nés, fut placé dans les bras de sa mère souriante. Lenwë n’était pas le premier enfant d’Alek et Amarië Elanessë, à vrai dire s’était le troisième enfant, et deux ans plus tard vint la dernière enfant du jeune couple.
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« Frappe plus fort Lenwë !!!!! »
Le garçon alors âgé de 13 ans soupira, ignorant les grosses gouttes de sueur qui dévalaient son visage. Il secoua la tête, se mis en garde en essayant d’être le moins déséquilibré possible par l’énorme bâton qu’on lui avait collé entre les mains. Le gamin pris une grande inspiration, et s’élança, frappant de toutes ses forces le sac de blé accroché au plafond de la grange. Quand le choc arriva Lenwë cru que tout ses os allaient se briser, il leva les yeux vers le sac : il avait à peine bougé… Le futur garçon de ferme élança son pied en avant et mis un énormes coup de pied dans l’objet dans l’espoir de faire croire qu’il avait réussit l’exercice que lui infligeait son père. Seul résultat : il se fit mal au pied en plus de son bras déjà à moitié démoli. Le son qui sortit alors de sa gorge ressemblait plus à un gémissement de monstre qu’a une voix humaine.
« Papa je n’aime pas ça…Je veux pas devenir guerrier moi… »
A 13 ans Lenwë Elanessë n’était doué ni pour l’agriculture, ni pour l’élevage, ni pour le combat, contrairement à ses frères aînés, et même sa sœur de deux ans de moins effectuait plus de travaux familiaux que lui. Car la principale activité du garçon était de s’asseoir au près du petit étang avec sa cithare, et d’y jouer pendant des heures, imitant les notes des oiseaux, le clapotis de l’eau, inspiré par le mouvement des nuages et le chant du vent dans les feuilles des arbres. Désespérés ses parents étaient persuadés qu’à la première attaque d’ennemis le gamin serait immédiatement éliminé. Surtout qu’il était franchement allergique à toute forme de violence.
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Lenwë a atteint ses 19 ans. Emmitouflé dans une cape de voyage, ses sacs sur l’épaule, ses sandales nouées il se tient au pas de la porte. Le garçon enlace sa mère.
« Tu es sur de vouloir faire ça ? »
‘’Évidemment’’
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Lenwë marche…Marche…Un pas, puis un autre…Ses pas laissent des traces dans l’herbe encore humide de la rosée du matin. La route était encore longue pour arriver à Vérénya pourtant le garçon gardait le sourire en observant le bal des nuages au dessus de lui. Pourquoi marchait il ? Cela remontait à maintenant 19 ans son histoire…Signe particulier: se trimbale toujours avec un instrument sur lui. Barde
autre: j'éspére que c'est assez long >.<, si barde ne convient pas je réecrirai mon histoire ^^